Le chien, et parfois le chat, sont les espèces les plus souvent intoxiquées au lopéramide.
Il est à noter une sensibilité particulière du Colley et des races apparentées ; une hypothèse a été émise concernant un passage plus facile de la barrière hémato-méningée : cette sensibilité serait due à un défaut de la glycoprotéine P (allèle muté du gène MDR1), un composant important de la barrière hémato-méningée. Cette mutation est également responsable d’une sensibilité à la milbémycine, à la moxidectine et à l’
ivermectine, entre autres.