Il est symptomatique et éliminatoire dans le cas d’une intolérance ou d’effets secondaires chez les carnivores. En cas d’affection cutanées, un bain donné dans les 48 heures suivant l’administration permet l’élimination du produit.
Le traitement est presque illusoire chez le lapin ; il faut tout de même traiter les convulsions au diazépam (Valium®).
Lors d’un appel pour un chat ou un chien présentant des signes sévères d’intoxication suite à l’administration de Frontline® (trémulations musculaires, convulsions, hypersalivation, vomissements, etc.), il convient de bien se renseigner sur le nom du produit employé : il s’agit la plupart du temps non pas de Frontline® (fipronil) mais d’une perméthrine qui se présente aussi sous forme de spot-on ou de spray antiparasitaire.