Elle est modérée en général. Elle est due à l’action des pyréthrines sur les canaux à sodium, il y a alors persistances des trains d’influx nerveux. L’action est proche de celle des organochlorés, les signes nerveux sont donc marqués.
La DL50 orale chez le chien est de 300 mg/kg pour la deltaméthrine. Chez le rat, les DL50 sont de 150 mg/kg et 8000 mg/kg pour la deltaméthrine et la perméthrine respectivement.